Comédien et metteur en scène

Maxime Clarke, a pu goûter aux si doux plaisirs du théâtre depuis de nombreuses années. Il s’est épris pour les arts de la scène à l’occasion d’une comédie musicale Le Cerf-volant Magique, durant ses primaires, où il incarna son tout premier rôle. Il enchaîne vers la fin de ses primaires sur une pièce mixant différentes œuvres de Molière. C’est quelques années plus tard que les arts d’expression sont revenus frapper à sa porte. Il saisit l’opportunité d’en faire le cœur de ses deux dernières années d’humanité. Instant où il put s’exercer à l’écriture, le cinéma (réalisation de court-métrage) et bien sûr, le théâtre. Deux pièces : l’une, où il endosse le rôle d’un pauvre homme tourmenté par ceux qui l’entourent, poussés eux-mêmes par le Diable s’amusant à révéler leurs vices. L’autre, où il joue le tendre Roméo. Pas celui de Shakespeare mais une adaptation francophone de Romeo y Julieta de Lope de Vega. À l’université où il entreprend et finit des études en Psychologie du Travail et des organisations, il s’adonne au plaisir satirique des revues estudiantines de sa faculté pendant 5 ans, dont une qu’il organise de concert avec 3 passionnés. C’est au détour de quelques aventures étudiantes qu’il fait connaissance avec Christobalt Mitrugno. Après plusieurs années, il lui propose de porter les lunettes d’un psychologue dans L’imaginaire de mon Malade. Il rejoint la Compagnie Lâche Pas Mon bras pour leur deuxième projet en interprétant un certain Louis dans Les Mensonges de la petite souris. L’année passée, il a incarné le sympathique et fanatique fan de café Patrick dans Encore une bougie d’soufflée.